La perte de soi
La perte de soi : nécessité intérieure et autodestructivité La perte de soi est souhaitable pour tout un chacun, au titre d'une nécessité intérieure. Se parler et parler, être présent dans les mots et être représenté par les mots : cela suppose de consentir à se perdre, à ne jamais coïncider avec soi-même. A l'opposé, il est une autre ?gure de la perte de soi, [...]
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Auteur : Jean-François CHIANTARETTO
Editeur : Campagne Première
Collection : Recherche
Date parution : 09/2020CB Google/Apple Pay, Chèque, Virement
Quel est le sujet du livre "La perte de soi"
La perte de soi : nécessité intérieure et autodestructivité La perte de soi est souhaitable pour tout un chacun, au titre d'une nécessité intérieure.
Se parler et parler, être présent dans les mots et être représenté par les mots : cela suppose de consentir à se perdre, à ne jamais coïncider avec soi-même.
A l'opposé, il est une autre ?
gure de la perte de soi, relevant de la destructivité et de l'autodestructivité : la disparition de soi à soi-même.
Comment survivre à cette perte ?
Telle est bien la question posée par " l'existence limite ", qui traverse tout le livre.
Avec deux éclairages, aussi indirects qu'essentiels.
D'une part, le dialogue de Freud et Ferenczi, destructeur et créateur, qui re-commence la psychanalyse.
D'autre part, l'écriture survivante de Kertész, qui fait oeuvre de l'e?
acement.
Auteur Philosophe et psychologue clinicien de formation, Jean-François Chiantaretto est psychanalyste (Quatrième Groupe) et professeur de psychopathologie (Université Paris 13). Ses livres sont traversés par la question de l'interlocution interne, qu'il s'agisse des écritures de soi, de l'écriture du psychanalyste ou de la clinique des limites.
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