A dire d'elles. Des palombes... et des hommes
Des palombes... et des hommes

Quel est le sujet du livre "A dire d'elles. Des palombes... et des hommes"

Ce recueil de nouvelles est issu de la chronique palombe " A dire d'elles " publiée dans le journal Le Républicain et tenue par Daniel Testet - " Dan de la Castagnère ", puisque tel est le nom de sa palombière aux limites de la Gironde et du Lot-et-Garonne.
Davantage que la chasse elle-même, c'est l'aventure humaine qui est le sujet de ces écrits : souvenirs de gestes et de rituels, de repas et de discussions ; tranches de vie, entre émotions et partages, dans cette aventure en forêt sans cesse recommencée ; description aussi de l'avant et de l'après, avec l'attente et la préparation de ces moments rares et magiques volés chaque automne au cours ordinaire de la vie.
Si ces nouvelles sont une véritable déclaration d'amour à la belle bleue, noble et fantasque, attirante et fragile, par qui vient cette alchimie de l'attente et de l'émotion quand surgit du fond du ciel le vol tant désiré, elles sont aussi un hommage aux acteurs, jeunes et vieux, masculins et féminins, de la vie " palombistique ", à cette " culture des cabanes " qui est, jusqu'à quand ?
, l'un des éléments les plus étonnants de notre patrimoine rural et dont la transmission entre générations n'est pas le moindre des enjeux.

Préfacier Préfacier Daniel Testez est né le 17 octobre 1949 à Baleyssagues, commune qui jouxte le célèbre château de Duras, au nord-ouest du Lot-et-Garonne. Issu de générations paysannes dont l'origine connue remonte à 1730, il quitte la commune paternelle d'Agnac (47) en 1965 pour faire ses études à Bordeaux. Instituteur dès 1970, il connaît alors ses premiers émois " palombistiques " ! Cette passion ne le quittera plus. Son premier plaisir est d'observer l'oiseau bleu et tout ce qui l'entoure. C'est ainsi qu'il établira des classeurs de notes et graphiques, données statistiques, de 1984 à nos jours, témoins précieux de l'évolution de la chasse à la palombe et de la vie qui l'entoure. Défenseur de cette culture de terrain, il considère que c'est un élément du patrimoine rural, fort de valeurs et de connaissances, qu'il est bon de transmettre et de préserver.