'Boris Cyrulnik et Tzvetan Todorov ont traversé l'époque de manière singulière. Tous deux sont devenus des penseurs plébiscités et des observateurs engagés de nos sociétés. L'un et l'autre ont connu le totalitarisme et cherchent à comprendre ce qui peut nous permettre de résister à la terreur.
[lire la quatrième du livre La tentation du bien est beaucoup plus dangereuse [...]]
Livres de la collection - Mikros
Les mots de la politique ne sont pas neutres ; ils sont là pour servir une idée, défendre une cause, expliciter un projet de société. C'est le cas des 'mots verts' tels 'prospérité sans croissance', 'simplicité volontaire', 'communs', 'zadistes'... Les mots construisent des représentations, et celles-ci génèrent des actions.
[lire la quatrième du livre L'écologie mot à mot]
Il y a un mystère du sommeil. A la fois sujet banal de discussions, et phénomène universellement partagé. Pourtant, le sommeil demeure une 'colonne absente' des mondes de la politique comme de la santé. Il est temps que cela change !
[lire la quatrième du livre Le sommeil malmené]
Ce livre est la première enquête indépendante et approfondie sur l'agriculture dite 'cellulaire' . Ce terme tient de la novlangue en ce qu'il annonce comme relevant de l'agriculture la production d'aliments - plus particulièrement des produits animaux - à partir de cellules souches cultivées en laboratoire ou de substituts végétaux assemblés avec des protéines de synthèse.
[lire la quatrième du livre Steak barbare]
Chacun de nous a déjà perdu : un match, un jeu, une négociation, un emploi. Certains ont même perdu une élection. Que reste-t-il de la défaite pour le reste de notre vie ? Comment vit-on avec cet échec qui ne correspond pas aux standards de notre société de la performance ? Y a-t-il de belles et de mauvaises défaites ?
[lire la quatrième du livre Eloge de la défaite]
'Un demi-siècle s'est écoulé depuis que le tocsin a sonné. La pollution ravage les mégapoles, la stérilisation ravage les terres arables. La cupidité économique incendie les forêts d'Amazonie, tandis que celles d'Australie brûlent faute des précautions que connaît la culture millénaire des Aborigènes. [...
[lire la quatrième du livre L'entrée dans l'ère écologique]