Le droit comme la littérature, dans un rapport de conflictualité ou de complémentarité, travaillent le réel qu'ils contribuent à faire advenir. A travers les mots incarnés (les personnages) ou conceptuels (les qualifications), le ' comme si ' juridique et littéraire est un opérateur de réel ouvert à la réécriture.
[lire la quatrième du livre Afin que du réel advienne...]
Livres de la collection - Droit & Littérature - page 3
L'enseignement pouvait, sous le poète François Villon au 15e siècle, se dérouler oralement sans le moindre support écrit. Les cours de droit - s'ils existaient - pouvaient comporter des observations exposées au vol que les étudiants comprenaient tant bien que mal. Dans ce contexte, les règles procédurales, de forme écrites, étaient alors difficiles à assimiler.
[lire la quatrième du livre Les grands procès]
Les procès criminels en général et des 'grands procès' en particulier illustrent un combat récurrent entre les contraintes juridiques de l'administration de la preuve et le principe de la liberté de celle-ci.
[lire la quatrième du livre Les grands procès]
Les grands procès (ou les procès) peuvent suivre, nourrir ou emporter des maltraitances ou rabaissements.
Le monde du droit peut être dangereux au point d'humilier ou de tuer.
La torture en constitue l'une des composantes.
L'histoire judiciaire atteste d'actes atroces au titre de sanctions (voire de vengeances).
[lire la quatrième du livre Les grands procès. Un territoire d'écriture [...]]