Produis ! Consomme ! Profite ! Sois heureux ! - ainsi tonnent les sommations contemporaines alors que s'achève le déclin du patriarcat.
Contrairement aux espoirs du XXe siècle, l'allégement de la morale traditionnelle n'a pas libéré l'humanité du poids des injonctions, aussi intransigeantes et insensées soient-elles. C'est ce champ-là - celui des [...]
[lire la quatrième du livre Ce que commande le surmoi]
Livres de la collection - Clinique psychanalytique et psychopathologie
L'oeuvre de Foucault, des années 1970 jusqu'à sa disparition en 1984, fut marquée par une critique du 'complexe d'oedipe' , concept essentiel à Freud. Contre la conception universaliste et intemporelle du 'complexe d'oedipe' , le philosophe se donne la tâche de situer historiquement l'émergence de la prohibition de l'inceste, ainsi que celle du concept freudien.
[lire la quatrième du livre L'Oedipe selon Foucault]
Nées à un peu plus de trente ans d'écart, schizophrénie et autisme sont des entités qui ont durablement marqué la psychiatrie. L'autisme infantile est devenu, au détour du XXIème siècle, le trouble prévalent dans notre société.
[lire la quatrième du livre Autisme et schizophrénie]
La psychose n'est pas une pathologie chronique, déficitaire et handicapante. Aucune étude n'est parvenue à le démontrer, et pourtant ce point de vue est très répandu. En reconnaissant que les symptômes sont déjà une réponse au malaise, la psychanalyse permet aux sujets qu'elle accueille d'infléchir le cours de leur vie.
[lire la quatrième du livre Solutions élégantes à la psychose]
Le rire n'est qu'un accident qui ne peut faire l'objet d'une connaissance scientifique, suppose le philosophe Ludovic Dugas après avoir étudié la question de manière encyclopédique. La notion du sujet au sens que lui donne la psychanalyse résonne à l'unisson avec l'éphémère qui rend le penseur français perplexe.
[lire la quatrième du livre Le spectre du rire et la clinique du sujet]
Ce livre présente la théorie radicalement nouvelle de la subjectivité trouvée dans l'oeuvre de Jacques Lacan.
[lire la quatrième du livre Le sujet lacanien]
Ni linéaire ni prédictible, la création s'appuie sur l'unique savoir de l'artiste.
Elle met en jeu ses pensées, aux ressorts inconscients, mais aussi son corps en tant que traversé par la pulsion.
Cette dernière n'est pas sans rapport au trou dans le langage, tout ne peut être dit.
De ce pas-tout, l'artiste en fait la démonstration par son travail toujours à recommencer.
[...]
[lire la quatrième du livre Corps et création]
Un enfant gravement malade, une femme en proie aux angoisses hypocondriaques, un médecin ébranlé par le décès de ses patients... Trois situations fort différentes, autant de positions subjectives face au corps en souffrance.
[lire la quatrième du livre Cliniques du corporel]
Déterminer une position subjective en tant que névrose, psychose ou perversion relève de la doctrine des structures cliniques. Loin de faire l'unanimité, cette conception se heurte aux opinions les plus disparates. Ainsi, quelques auteurs soutiennent qu'elle prolonge naturellement les travaux de Freud et Lacan. D'autres soulignent son origine freudienne en même temps que sa caducité face [...]
[lire la quatrième du livre Les structures cliniques]
En 1974, à l'occasion de la mise en scène au festival d'Automne par Brigitte Jaques de la pièce de théâtre de Frank Wedekind, L'éveil du printemps, traduite par François Regnault, Jacques Lacan écrivit une préface dont la densité est à la mesure du chantier qu'il poursuivit pour remettre la psychanalyse sur ses pieds.
[lire la quatrième du livre Lacan avec Wedekind]
À partir de l'enseignement de Freud et de Lacan sur la question de l'anorexie mentale, Domenico Cosenza cerne un point-clé : celui du statut du refus dans l'anorexie mentale.
Il analyse rigoureusement tous les aspects fondamentaux en jeu dans la clinique de l'anorexie.
Se constitue tout d'abord le cadre théorique de l'anorexie.
[lire la quatrième du livre Le refus dans l'anorexie]
Souligner l'existence d'une logique inhérente au délire ne passe plus aujourd'hui pour un paradoxe : la thèse freudienne selon laquelle il constitue une tentative de guérison n'est pas ignorée.
Un paradoxe subsiste pourtant, rarement soulevé, il réside dans la conviction, presque unanime, selon laquelle ce travail auto-thérapeutique doit être contrecarré, réduit.
jugulé.
[lire la quatrième du livre Logique du délire]