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Même si c’est un livre épais et donc difficile à porter, il reste une très bonne référence du fait de son texte aéré. Les illustrations sont de bonne facture.
On y retrouve une organisation par chapitre. Le premier chapitre est exclusivement consacré à des rappels d’anatomie brefs et concis qui permettent de réviser sans se noyer dans des détails inutiles.
Vous y trouverez aussi des planches de scanner qui concernent la segmentation bronchique, artérielle et veineuse et les schémas d’anatomie largement suffisants (pas besoin de se replonger dans des cours d’anatomie indigeste !).
Ce livre, destiné de premier abord aux radiologues voulant se documenter sur la pathologie thoracique et aussi aux internes de radiologies bien sûr, est complet puisqu’il contient de connaissances satisfaisantes de la matière.
Le texte est facile et fluide avec quelques statistiques au passage.
Vous retrouverez toutes les techniques d’imagerie radiographie standard, scanner et IRM ; les illustrations sont de bonne qualité et cohérentes avec le texte.
Bien que la plupart des pathologies les plus fréquentes soient illustrées, quelques pathologies néanmoins ne le sont pas. Mais nous savons tous, pour la plupart. comment pallier à ce manque d’informations après quelques recherches.
Ce livre traite de la pathologie thoracique, chapitre par chapitre de façon cohérente, néanmoins il est à noter que seule la fin de l’ouvrage est consacrée à la pédiatrie. C'est majoritairement la pathologie thoracique de l’adulte qui est abordée.
Ce livre mérite toute sa place dans une bibliothèque non seulement à cause de l’étendue des pathologies qui y sont traitées mais aussi grâce à la richesse de ses illustrations.
Prenons le chapitre traitant de la BPCO ; celui-ci revient sur la physiopathologie qui est une matière importante à intégrer pour comprendre les anomalies visibles sur les examens.
Par la suite, les caractéristiques visibles en imagerie sont reprises une à une sans trop de détails. On apprécie aussi, la présence de référence avec des statistiques qui nous montre que la valeur numérique d’une norme est facilement, mais pas forcément tangible.