Un grand classique de l'écoféminisme - un livre fondateur des humanités écologiques Entre le 16e et le 17e siècle, l'image d'une Terre organique, féminine, et vivante fait place à une nouvelle vision du monde dans laquelle la nature est reconceptualisée comme une machine morte et passive, autorisant ainsi sa spoliation sans limite aux mains de l'homme. [lire la quatrième du livre La mort de la nature]
Dans cet essai provocateur de 1978, pierre angulaire de la littérature féministe et de l'écoféminisme, traduit pour la première fois en français, Susan Griffin explore une représentation traditionnelle qui a cours depuis l'Antiquité : la femme serait du côté de la nature ; l'homme du côté de la culture. [lire la quatrième du livre La Femme et la Nature]
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